Oupouaout

Oup -ouaout ou Oupouaout, dont le nom veut dire «Celui qui ouvre les chemins», est, dans la mythologie égyptienne, le dieu tutélaire de la ville d'Assiout, capitale du XIIIe nome de Haute-Égypte.



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Divinité égyptienne

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Dieux égyptiens
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Oupouaout
wp
N31
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t E18
wpwawt
Étiquette de jarre en ivoire représentant le pharaon Den abattant un ennemi de l'Égypte. Devant lui figure un grand pavois d'Oupouaout

Oup (y) -ouaout ou Oupouaout[1], dont le nom veut dire «Celui qui ouvre les chemins», est , dans la mythologie égyptienne, le dieu tutélaire de la ville d'Assiout (Saout), capitale du XIIIe nome de Haute-Égypte. On le représente le plus fréquemment en tête des cortèges d'enseignes car comme dieu «éclaireur» il a pour fonction principale d'écarter symboliquement toute force hostile sur le chemin des processions royales ou divines.

Il est associé à la protection de la personne royale puis à celle de la «Terre Sacrée» de la ville sainte d'Abydos et par conséquent aux dieux canidés gardiens des lieux Khenty-Imentiou et Anubis.

Son nom d'origine est probablement Sed (y) signifiant «Celui à la queue», caractéristique physique la plus remarquable de l'animal lui conférant sa silhouette spécifique et aussi allusion à l'utilisation de la queue du canidé dans le costume de chasse aux époques préhistorique et prédynastique.

Iconographie

Oupouaout est figuré sous l'aspect d'un canidé hybride du chacal et du chien sauvage (canis lupaster), peut-être un lycaon.

Le dieu présente les mêmes caractéristiques extérieures qu'Anubis mais est représenté debout sur ses pattes, tandis qu'Anubis est plutôt figuré couché.

L'animal est par conséquent dressé, les pattes jointes, sur son pavois constitué lui-même d'une planchette étayée par une traverse oblique reliée à un mat porté à bout de bras. Ce pavois est orné à l'avant d'un renflement épais (le shedshed ) et/ou d'un uræus.

Sur certaines représentations ornant le cintre des stèles votives d'Abydos au Moyen Empire, Oupouaout est figuré couché sur son pavois, à l'instar de son comparse local Anubis.

Quant aux représentations anthropomorphes, elles sont bien plus rares et postérieures aux premières dynasties. Le dieu y conserve presque toujours sa tête de canidé.

Son animal est difficilement identifiable : c'est un pseudo-chacal (Canis Lupaster) porteur des caractères du chacal, du chien sauvage et du lycaon. Les anciens grecs y virent à tort un loup, inconnu en Égypte, et hellénisèrent le nom d'Assiout en Lycopolis, «La ville du Loup».

La personnalité d'Oupouaout est scindée en deux : un Oupouaout de la Haute-Égypte, un autre de la Basse-Égypte ; il est aussi par conséquent nommé «Ouvreur du Double pays» et représente l'unification de la Haute et Basse-Égypte.

Une parèdre lui est quelquefois adjointe, simple féminisation de son nom Oupet-ouaout : «Celle qui ouvre les chemins». Elle ne joue aucun rôle significatif en dehors de celui, indispensable, du complément féminin du dieu.

Le premier symbole des ancêtres royaux

Le dieu Oupouaout figuré sous sa forme anthropomorphe accompagnant avec le dieu Horus Ramsès II - Abydos

Il fait partie des plus anciennes divinités étendards représentées sur les objets cultuels prédynastiques (palettes, plaquettes et sceaux).

Son enseigne, fréquemment dédoublée en celle de l'Oupouaout de Haute-Égypte et celle de l'Oupouaout de Basse-Égypte, selon la dichotomie habituelle chez les anciens Égyptiens pour décrire leur pays, se trouve en tête du cortège d'enseignes divines appelées Suivants d'Horus (Shemsou-Hor) et désignant les antiques successeurs d'un prestigieux roi Horus (Période Prédynastique/Nagada III) dont le nom servit à fonder la titulature des pharaons (premier nom de la titulature qui en comprendra cinq).

Oupouaout fut ainsi associé à la notion d'ancestralité royale. On le voit souvent présider le double cortège des Âmes de Nekhen, divinités anthropomorphes à tête de pseudo chacal symbolisant les antiques rois du royaume préhistorique de Haute-Égypte, et des Âmes de Bouto, divinités symétriques aux premières, à tête de faucon et incarnant les ancêtres royaux de la Basse-Égypte. Ce double cortège divin est figuré en train d'encadrer et d'acclamer le pharaon intronisé sur le double kiosque de la fête-Sed dans une sorte de rite de consécration monarchique.

Oupouaout, premier dieu tutélaire de la royauté ?

De récentes découvertes dans des sites préhistoriques égyptiens semblent confirmer la prépondérance du modèle d'organisation des lycaons pour les sociétés tribales de la période néolithique[2].

Les premiers habitants de la vallée du Nil furent probablement frappés par les mœurs grégaires de ces canidés sauvages organisés en bandes fortement structurées et par leur tempérament commensal de l'homme, à une époque où les groupes humains s'organisaient et se hiérarchisaient, faisant émerger la notion de chefferie.

N'oublions pas qu'à l'état sauvage, ces canidés, assimilables aux chacals, pratiquent dans la savane une technique de chasse conjuguée collective, rabattant le gibier vers les lionnes pour se partager les restes du festin laissé par ces dernières. Cette particularité suscita certainement l'intérêt croissant des groupes de chasseurs avec lesquels ils partageaient le même territoire de chasse. On peut imaginer qu'ils suivirent les chasseurs nomades dans leurs pérégrinations, rabattant pour eux le gibier tant convoité et se contentant des carcasses laissées près des foyers.

Progressivement la collaboration distante fit place à un rapprochement de plus en plus étroit et probablement consenti, amorçant un processus de domestication non prédatrice (la consommation de la viande de canidé se limitant, pour l'Ancien Empire à celle des hyènes).

C'est probablement cette spécificité qui fit de ce pseudo chacal le premier auxiliaire cynégétique de l'homme et l'emblème archaïque de la chefferie puis du pouvoir royal lui-même. À la période préhistorique où la survie des clans dépendait étroitement du produit de la chasse, cet auxiliaire canin fut progressivement associé à la personne ainsi qu'à la fonction du chef, chasseur émérite par nature. L'enseigne d'Oupouaout et ses attributs cynégétiques en sont peut-être la codification matérielle protohistorique puis historique.

Sur un bas-relief fragmentaire provenant du complexe funéraire du pharaon Niouserrê à Abou Ghorab (Ancien Empire, Ve dynastie), certains ritualistes sont coiffés de dépouilles de canidés. Ce costume particulièrement inhabituel, constituant un exemple unique dans tout le fond iconographique de la Fête-Sed, est probablement la survivance matérielle d'un antique rituel préhistorique associant la force potentielle du canidé avec la personne physique du chef de chasse, futur pharaon.

Cet élément confirme l'archaïsme du rituel jubilaire. En effet, à la période historique, le canidé ne figure jamais comme victime sacrificielle, en Égypte mais également sur tout le continent africain où le sacrifice d'un chien est tabou sinon exceptionnellement motivé et jamais à des fins alimentaires.

De nombreux indices renforcent l'hypothèse selon laquelle un très ancien chien de chasse divinisé, peut-être appelé Sed, fut à l'origine de la future Fête-Sed des temps protohistoriques et historiques, à une époque reculée où celle-ci s'apparentait à une chasse de qualification conçue pour désigner le nouveau et jeune chef de la tribu. Après avoir sacrifié et inhumé l'ancien chef, devenu trop âgé et dont le vieillissement compromettait symboliquement la pérennité du clan -le corps du chef, puis du pharaon, étant symboliquement identifié à la totalité du territoire- on désignait ainsi son jeune remplaçant.

L'enseigne du dieu est particulièrement souvent associée à une autre qu'elle surmonte, plus petite et plus mystérieuse, qu'on attribue le plus souvent au dieu de la lune, Khonsou, par ressemblance du nom donnée à cette enseigne, «Khenes» avec le nom «Khonsou». Elle représente une sorte de sac (?) ou d'outre (?) à double renflement ou, plus probablement un placenta humain particulièrement stylisé, si on se réfère à l'étymologie supposée du nom de Khonsou. Les égyptiens considéraient le placenta comme le jumeau mort-né de chaque humain.

Il était l'objet d'un culte funéraire royal dès l'époque des pyramides (voir le rôle supposé des pyramides "satellites"). L'astre lunaire étant lui-même le double nocturne mort-né du Soleil, l'enseigne en question (pseudo placenta/emblème de Khonsou) devrait être interprétée comme un symbole de régénération gestative ou latente, fort utile pour la Fête-Sed destinée au renouvellement du corps royal à laquelle préside notre dieu étendard Sed-Oupouaout.

Anubis, l'autre grand dieu "chacal" est lui aussi associé à un très archaïque fétiche gestatif, l'Imy-ut, sorte de peau (de canidé ?) acéphale cousue contre une hampe et ornée.

Le glissement sémantique de l'enseigne d'Oupouaout vers une signification funéraire/régénérative procède probablement de cette proximité avec l'enseigne du pseudo placenta, au point que celle-ci devient un attribut du dieu, tout comme les antiques armes de chasse évoquées ci-dessus.

Le dignitaire Minnakht faisant une prière à Oupouaout figuré sous la forme d'Anubis

C'est ainsi qu'Oupouaout put prendre place parmi les dieux d'Abydos, ville sainte du dieu Osiris. Oupouaout y est particulièrement souvent représenté sur les cintres des stèles ornant les chapelles votives du Moyen Empire et cité dans l'énumération des divinités invoquées par les prières qui y sont inscrites.

Son rôle recouvre ici encore une symbolique territoriale, Oupouaout étant chargé de protéger "La Terre Sacrée" (ta-djéser), en compagnie de son comparse Anubis, avec lequel il partage l'apparence de pseudo-chacal et auquel il s'assimile au cours des âges. Cette assimilation fut facilitée par le fait que le dieu tutélaire primitif d'Abydos était lui-même un pseudo chacal Khenty-imentiou "Celui qui est à la tête des Occidentaux (= des défunts) ".

À l'aube de la période historique (-3200), le nom de Sed fut remplacé par l'épithète principale du dieu étendard en tête des processions d'enseignes divines : Oup (y) -ouaout "Celui qui ouvre les chemins". Le nom de Sed subsista seulement pour désigner le rituel jubilaire tout entier.

Dés lors, on comprend mieux pourquoi Oupouaout demeura pendant toute l'histoire de l'Égypte pharaonique le principal ordonnateur divin de la Fête-Sed, elle-même initialement chasse de qualification symbolique ritualisée et enrichie d'apports théologiques complexes au fil des siècles, au fur et à mesure que la fonction royale se complexifiait, rendant de plus en plus opaque l'origine préhistorique du rituel et rigidifiant le rôle d'Oupouaout au point de le reléguer au rang de simple étendard exhibé en tête des processions y compris en dehors de la Fête-Sed.

Oupouaout, gardien de la personne royale par la prime fonction cynégétique -donc terrienne- du chef de clan, fut détrôné, à partir de la période thinite par des divinités plus particulièrement élaborées, tel Horus, plus en harmonie avec une conception désormais céleste et universelle de la souveraineté.

Mais la Fête-Sed conserva toujours la mémoire du dieu Oupouaout, comme divinité royale protectrice de la personne du pharaon de tout premier plan, jusqu'à la fin du paganisme, les bas-reliefs ptolémaïques en faisant foi.

Par parenté de fonction entre la chasse et la guerre, apanage aristocratique, Oupouaout devint aussi un auxiliaire royal guerrier. Son enseigne, en tête des cortèges militaires, ouvre fréquemment la voie au pharaon partant guerroyer pour la gloire de l'Égypte. Assiout, dont il était le dieu tutélaire, a longtemps eu un rôle stratégique en Moyenne Égypte. Elle était une ville de garnison, comme en témoignent le contenu des tombes qui y furent mises au jour mais aussi les inscriptions du nomarque Hâpydjéfaï (XIIe dynastie) qui commandait aussi la garnison nubienne de Kerma.

Rôle d'Oupouaout dans la Fête-Sed

Statuette d'Oupouaout - Musée du Louvre

Associé initialement à la fonction cynégétique royale, surtout dans les textes des pyramides sous le nom de Sed (litt. "celui de la queue"), il préside au cérémonial du même nom fête-Sed, c'est-à-dire au jubilé pharaonique, où il accompagne le roi dans l'accomplissement des rites majeurs, fréquemment les plus anciennement attestés par les représentations, tels que la course entre les deux limites symbolisant la prise de possession territoriale de l'Égypte par le roi régénéré par le rite.

Cette course se déroule dans un lieu nommé Sekhet "le champ de joncs / la prairie" évoquant cet espace giboyeux localisé entre les marécages et les champs cultivés et qui fut très longtemps un territoire de chasse parfait.

La présence de l'enseigne de ce dieu manifeste ici toute la dimension territoriale du pouvoir pharaonique sur l'Égypte et , lors du rite final du tir à l'arc dans les quatre directions cardinales, sur le Monde entier.

La palette prédynastique dite " Palette de la Chasse" représente un groupe de chasseurs archers portant une queue postiche de canidé accrochée à l'arrière du pagne. On retrouve à la période historique cette queue postiche accrochée au pagne pharaonique de la fête-Sed mais devenue queue de taureau, expression de la puissance fertilisatrice du roi régénéré par le rituel jubilaire dans une Égypte sortie d'une économie de la chasse et devenue un véritable empire agricole. La fonction nourricière du roi a permis l'incursion d'éléments et rites agraires dans la Fête-Sed, élargissant ainsi le domaine d'origine strictement cynégétique de cette cérémonie séculaire.

C'est tout naturellement que l'enseigne d'Oupouaout encadre le double kiosque jubilaire où trône le pharaon régénéré, rite essentiel de la Fête-Sed qui exprime l'emprise du roi sur son royaume, originellement territoire de chasse du chef préhistorique.

Des armes de chasse (arc, flèches, massue, propulseur et armes de la déesse sauroctone Mafdet) accompagnent fréquemment l'étendard divin d'Oupouaout, plutôt lors de la Fête-Sed, confirmant la primauté de ce dieu et , probablement, l'origine cynégétique même du jubilé ; le nom même du dieu Sed ayant été donné à la totalité du rituel jubilaire, le terme Oupouaout n'étant probablement à l'origine que l'épithète principale du dieu désignant sa fonction principale.

On plonge ici aux sources préhistoriques de la fonction pharaonique ainsi qu'à certains liens culturels paléo-africains de cette dernière. C'est pourquoi, il convient de demeurer prudent sur les hypothèses qu'on avance à ce sujet.

Avec le temps, la fête-Sed s'enrichit d'épisodes à connotation cynégétiques dérivées impliquant, hormis la tutelle de l'enseigne d'Oupouaout, celle d'autres entités divines ou acteurs symboliques exprimant la puissance physique du pharaon, comme chasseur pourfendeur des forces destructrices de l'univers et , par extension comme guerrier.

On peut citer surtout les rites cynégétiques suivants dont certains sont plus ou moins directement mis en relation avec la fête-Sed :

Le rôle d'Oupouaout dans les textes des pyramides

Le dieu intervient sous cinq appellations :

Oupouaout y est essentiellement associé à la notion d'élévation dans l'espace. Il assiste le pharaon défunt dans son ascension au ciel. Pour cela, il l'aide à s'envoler ou lui prête son identité. Cette utilisation peut surprendre de la part d'un dieu chacal, animal terrestre ou alors chtonien, dans les cas des dieux funéraires Khenty-imentiou et Anubis. On aurait pu s'attendre à ce que ce soit une hypostase animale aérienne - un oiseau - qui soit sollicitée. Mais, en dehors de l'étymologie du verbe "wp (i) ", à l'origine du nom d'Oupouaout (cf. Pyr. 463 a / W. 571 ci-après), il ne faut pas oublier que des armes de jets aériennes lui sont associées : arc, flèches et propulseur. C'est ainsi qu'il prête volontiers main forte à des entités divines incarnées par des oiseaux (cf. Pyr. 126 b-c / W. 187 [l'aigrette nommée "Sd3"] ; Pyr. 1900 c / N. 870 et Pyr. 1979 a-b / N. 762 [le faucon Horus]) ou encore au dieu Shou, symbole de l'espace aérien lui-même Pyr. 1066 c (P. 220).

Mentions d'Oupouaout sous son nom même d'Oup-ouaout

On utilise ci-dessous l'abréviation «Pyr.» pour textes des pyramides.

Mentions d'Oupouaout sous son diminutif d'Oupiou

Mentions d'Oupouaout sous l'expression de «chacal»

Mentions d'Oupouaout sous l'expression de «chacal du sud»

Mention d'Oupouaout sous son appellation de «maître d'Assiout»

Lieux de culte principaux d'Oupouaout

Ses lieux de cultes principaux sont Abydos, Lycopolis/ (Assiout), Quban, El-Hargarsa, Memphis, Saïs.

Le sanctuaire principal du dieu à Assiout, en Moyenne-Égypte n'a jamais pu être découvert, par conséquent fouillé, la ville moderne recouvrant complètement les vestiges de l'antique cité du dieu chacal.

On connaît cependant légèrement l'organisation de son clergé grâce aux fameux contrats funéraires gravés sur les parois de l'hypogée du nomarque Hâpidjefai (XIIe dynastie), à Assiout, dans lesquels le propriétaire de la tombe énumère les clauses lui garantissant les services du clergé du dieu pour son culte funéraire.

Notes

  1. Autres  : Oup-aout, Oup-ouat, Wepwawet, Upuaut, Ophois.
  2. voir Béatrice Midant-Reynes, Aux origines de l'Égypte. Du Néolithique à l'émergence de l'État, éd. Fayard, 2003

Bibliographie

Voir aussi

Concours de positionnement Google

Le nom Oupouaout a été utilisé dans un concours de positionnement sur le moteur de recherche Google. L'objectif de ce jeu était d'arriver en première position lors d'une recherche sur le mot clef «Oupouaout». Ceci explique en grande partie les milliers de réponses, quelquefois hors-sujet, qu'on obtient sur un dieu assez peu connu. Ce concours fut gagné par Kendyan avec son Oupouaout. org


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